LES CONSORTIUMS-HN
Qu'est-ce qu'un consortium-HN ?
Les Consortiums-HN réunissent plusieurs personnels d’unités et équipes de recherche françaises, aux métiers variés (chercheur.e.s, ingénieur.e.s, archivistes, documentalistes, etc.) autour de thématiques et/ou d’objets communs pour lesquels ils définissent des procédures et standards numériques partagés (méthodes, outils, partages d’expériences).
Ils formulent un programme d’actions pluriannuels pour lequel ils s’engagent à apporter une partie des moyens nécessaires (en particulier en personnel), et pour lequel ils demandent, en outre, un soutien financier de la part de la TGIR. Ces actions donnent lieu à des livrables.
Dans ce cadre, les consortiums d’Huma-Num sont labellisés pour une période de 4 ans et évalués par le Comité de Pilotage et le Conseil Scientifique de l’IR* Huma-Num. Une seconde période de labellisation est possible sur la base de l’évaluation d’un nouveau projet, considéré comme une seconde phase évolutive du consortium-HN durant laquelle l’accent sera notamment mis sur l’ancrage pérenne des résultats produits par le Consortium-HN.
Les statuts d’Huma-Num prévoient la labellisation d’un nombre maximal de 12 Consortiums-HN en activité.
En savoir plus sur le processus de labellisation des consortiums d’Huma-Num.
Qu'est-ce qu'un consortium-HN ?
Les Consortiums-HN réunissent plusieurs personnels d’unités et équipes de recherche françaises, aux métiers variés (chercheur.e.s, ingénieur.e.s, archivistes, documentalistes, etc.) autour de thématiques et/ou d’objets communs pour lesquels ils définissent des procédures et standards numériques partagés (méthodes, outils, partages d’expériences).
Ils formulent un programme d’actions pluriannuels pour lequel ils s’engagent à apporter une partie des moyens nécessaires (en particulier en personnel), et pour lequel ils demandent, en outre, un soutien financier de la part de la TGIR. Ces actions donnent lieu à des livrables.
Dans ce cadre, les consortiums d’Huma-Num sont labellisés pour une période de 4 ans et évalués par le Comité de Pilotage et le Conseil Scientifique de la TGIR. Une seconde période de labellisation est possible sur la base de l’évaluation d’un nouveau projet, considéré comme une seconde phase évolutive du consortium-HN. A son terme, une dernière phase de 2 ans peut être accordée pour définir l’ancrage pérenne des résultats produits par le consortium-HN.
Les statuts d’Huma-Num prévoient la labellisation d’un nombre maximal de 12 consortiums en activité.
En savoir plus sur le processus de labellisation des consortiums d’Huma-Num.
Les consortiums-HN labellisés
Cliquez sur un Consortium-HN pour en savoir plus
pictorIA
Labellisé en janvier 2024
Son bureau est composé de Julien Schuh (MCF, Université Paris Nanterre, MSH Mondes-UAR 3225 et CSLF-EA1586), Anne-Violaine Szabados (IR, CNRS, InSHS, ArScAn-UMR7041) et Jean-Philippe Moreux (Expert scientifique Gallica, Bibliothèque nationale de France, Département de la Coopération, Service de la coopération numérique et de Gallica).
Quelques ressources
Lettre d’information: https://listes.huma-num.fr/wws/info/pictoria-info
Contact
Analyses, Recherches, Intelligence Artificielle et Nouvelles Editions numériques (Ariane)
Labellisé en janvier 2023
Quelques ressources
Liste de diffusion : cst-ariane@groupes.renater.fr
Le site web : https://cst-ariane.huma-num.fr/
Contact
Contact coordination
Ariane
Labellisé en janvier 2023
Quelques ressources
Liste de diffusion : cst-ariane@groupes.renater.fr
Contact
Contact coordination
Sound of Life (SoL)
Labellisé en janvier 2023
Le Consortium Huma-Num SoL (Sound of Life) coordonne des équipes issues des Sciences Humaines et Sociales et des Sciences du vivant autour d’un projet interdisciplinaire autour de la spatialisation des données sonores en éco-acoustique.
L’intérêt pour les outils numériques en lien avec la localisation fine des données est croissant et primordial dans ce domaine, particulièrement pour le suivi d’espèces, mais aussi pour l’analyse du paysage sonore d’un écosystème. En effet, la géolocalisation et l’identification désambiguïsée d’une ou plusieurs espèces permettent d’identifier les espèces présentes dans un milieu, mais aussi d’observer l’évolution de ce milieu et les dynamiques des espèces en fonction du temps. Les enregistrements d’ambiances sonores attestent la présence et l’activité d’un certain nombre d’espèces vivant à un moment et en un lieu donné : ce sont d’une part de véritables témoignages des co-occurrences et des interactions entre espèces, et d’autre part des instantanés de l’état de la biodiversité. La double évaluation des menaces graves qui pèsent sur la biodiversité et des lacunes dans les connaissances qui s’y rapportent a suscité un regain d’intérêt pour les énormes quantités d’informations, encore sous-exploitées, contenues dans ces collectes de sons du monde entier.
Une première approche des travaux déjà conduits dans ce domaine nous a amenés à constater que s’il y a des bases de données dispersées dans différents laboratoires de recherche, il n’existe pas encore de plateforme commune dédiée aux dépôts de ces données. De surcroît la structuration et la description de ce type de données sont très hétérogènes.
Le Consortium Huma-Num Sol est donc né de la volonté commune de fédérer l’ensemble de la communauté scientifique travaillant sur l’éco-acoustique et le paysage sonore afin d’établir une méthodologie et des référentiels communs.
L’apprentissage automatique de la reconnaissance sonore, la classification et l’indexation de ces données sont également au cœur du projet afin d’ouvrir de nouvelles perspectives informationnelles à l’espace géographique du vécu sonore.
Le Consortium Huma-Num SoL se propose donc de travailler de manière mutualisée pour offrir une solution matérielle et logicielle et des outils d’exploration de données sonores spatialisées dans le domaine de l’éco-acoustique.
Quelques ressources
A venir
Contacts
Shadia KILOUCHI
Pierre-Yves GAGNIER
Sound of Life (SoL)
Labellisé en janvier 2023
Le Consortium Huma-Num SoL (Sound of Life) coordonne des équipes issues des Sciences Humaines et Sociales et des Sciences du vivant autour d’un projet interdisciplinaire sur la spatialisation des données sonores en éco-acoustique.
L’intérêt pour les outils numériques en lien avec la localisation fine des données est croissant et primordial dans ce domaine, particulièrement pour le suivi d’espèces, mais aussi pour l’analyse du paysage sonore d’un écosystème.
En effet, la géolocalisation et l’identification désambiguïsée d’une ou plusieurs espèces permettent d’identifier les espèces présentes dans un milieu, mais aussi d’observer l’évolution de ce milieu et les dynamiques des espèces en fonction du temps.
Les enregistrements d’ambiances sonores attestent la présence et l’activité d’un certain nombre d’espèces vivant à un moment et en un lieu donné : ce sont d’une part de véritables témoignages des co-occurrences et des interactions entre espèces, et d’autre part des instantanés de l’état de la biodiversité.
La double évaluation des menaces graves qui pèsent sur la biodiversité et des lacunes dans les connaissances qui s’y rapportent a suscité un regain d’intérêt pour les énormes quantités d’informations, encore sous-exploitées, contenues dans ces collectes de sons du monde entier.
Une première approche des travaux déjà conduits dans ce domaine nous a amenés à constater que s’il y a des bases de données dispersées dans différents laboratoires de recherche, il n’existe pas encore de plateforme commune dédiée aux dépôts de ces données.
De surcroît la structuration et la description de ce type de données sont très hétérogènes.
Le Consortium Huma-Num SoL est donc né de la volonté commune de fédérer l’ensemble de la communauté scientifique travaillant sur l’éco-acoustique et le paysage sonore afin d’établir une méthodologie et des référentiels communs.
L’apprentissage automatique de la reconnaissance sonore, la classification et l’indexation de ces données sont également au cœur du projet afin d’ouvrir de nouvelles perspectives informationnelles à l’espace géographique du vécu sonore.
SoL se propose donc de travailler de manière mutualisée pour offrir une solution matérielle et logicielle et des outils d’exploration de données sonores spatialisées dans le domaine de l’éco-acoustique.
Projets Time Machine (PTM)
Labellisé en janvier 2023.
Les actions du Consortium Huma-Num PTM ou Projets Time Machine s’articulent autour de la notion de référentiel géohistorique et des données géohistoriques spatialisées.
Cette notion nous a permis de développer durant le quadriennal 2019-2022 (Consortium Huma-Num Paris Time Machine) des chantiers autour des données et des outils de la géohistoire et de nourrir une réflexion sur la nature même de cet objet numérique multiforme lié au domaine des humanités numériques spatiales et que partagent de nombreux champs disciplinaires (histoire, archéologie, histoire de l’art, géographie…).
Plusieurs chantiers thématiques autour des outils, des données et des communautés ont été développés et ont permis de créer ou d’enrichir des données et des applications géohistoriques (plan 1900, bases adresses, carte archéologique de Paris ou de Chartres…). Ils seront poursuivis.
Un axe de réflexion sur l’enrichissement collaboratif / participatif incluant une réfléxion sur la méthodologie critique de ces productions et surtout sur les enjeux de la qualité de ces données est maintenant engagé. Un autre axe de travail autour des workflows de gestion de projets, permettra de rendre plus génériques des méthodes et des outils en s’appuyant largement sur des initiatives existantes. L’axe technique aura pour objectif, tout en développant de nouveaux outils, d’interroger les briques techniques d’analyses de données pour les sciences historiques afin de faire valoir principalement l’aspect interdisciplinaire des approches en Sciences Humaines et Sociales.
Enfin un dernier axe applicatif et thématique en lien avec l’histoire de l’art nous permettra de travailler sur la valorisation spatiale de collections iconographiques et de chaînes spécifiques à cette discipline.
Quelques ressources
La plateforme de Webmapping GEO. Des exemples accessibles en ligne sont proposés :
- Analyse diachronique de l’espace Parisien (Alpage)
- Carte archéologique de Paris
- Carte archéologique de Chartres
- Collection d’images de la commission du vieux Paris
Heurist : une base de données générique pour les sciences humaines et sociales
Oronce Fine : Cet outil développé par la plateforme géomatique de l’EHESS avec un financement PSL intègre aujourd’hui le Consortium-HN PTM qui en soutient le développement au travers la publication de collections :
Amado online : permet de visualiser des tableaux croisés (tableaux de contingence) selon les principes élaborés par Jacques Bertin dans la Sémiologie Graphique.
La fabrique numérique du passé : Cette plateforme permet de déposer et de retrouver simplement des données géohistoriques dans une logique FAIR.
Contacts
Laurent COSTA
Consortium Projets Time Machine (PTM)
Labellisé en janvier 2023.
Les actions du Consortium Huma-Num PTM ou Projets Time Machine s’articulent autour de la notion de référentiel géohistorique et des données géohistoriques spatialisées.
Cette notion nous a permis de développer durant le quadriennal 2019-2022 (Consortium Huma-Num Paris Time Machine) des chantiers autour des données et des outils de la géohistoire et de nourrir une réflexion sur la nature même de cet objet numérique multiforme lié au domaine des humanités numériques spatiales et que partagent de nombreux champs disciplinaires (histoire, archéologie, histoire de l’art, géographie…).
Plusieurs chantiers thématiques autour des outils, des données et des communautés ont été développés et ont permis de créer ou d’enrichir des données et des applications géohistoriques (plan 1900, bases adresses, carte archéologique de Paris ou de Chartres…). Ils seront poursuivis.
Un axe de réflexion sur l’enrichissement collaboratif / participatif incluant une réfléxion sur la méthodologie critique de ces productions et surtout sur les enjeux de la qualité de ces données est maintenant engagé. Un autre axe de travail autour des workflows de gestion de projets, permettra de rendre plus génériques des méthodes et des outils en s’appuyant largement sur des initiatives existantes. L’axe technique aura pour objectif, tout en développant de nouveaux outils, d’interroger les briques techniques d’analyses de données pour les sciences historiques afin de faire valoir principalement l’aspect interdisciplinaire des approches en Sciences Humaines et Sociales.
Enfin un dernier axe applicatif et thématique en lien avec l’histoire de l’art nous permettra de travailler sur la valorisation spatiale de collections iconographiques et de chaînes spécifiques à cette discipline.
Quelques ressources
La plateforme de Webmapping GEO. Des exemples accessibles en ligne sont proposés :
- Analyse diachronique de l’espace Parisien (Alpage)
- Carte archéologique de Paris
- Carte archéologique de Chartres
- Collection d’images de la commission du vieux Paris
Heurist : une base de données générique pour les sciences humaines et sociales
Oronce Fine : Cet outil développé par la plateforme géomatique de l’EHESS avec un financement PSL intègre aujourd’hui le Consortium-HN PTM qui en soutient le développement au travers la publication de collections :
Amado online : permet de visualiser des tableaux croisés (tableaux de contingence) selon les principes élaborés par Jacques Bertin dans la Sémiologie Graphique.
La fabrique numérique du passé : Cette plateforme permet de déposer et de retrouver simplement des données géohistoriques dans une logique FAIR.
Contacts
Laurent COSTA
Mémoires des Archéologues et des sites Archéologiques plus (MASAplus)
Labellisation en 2023
Grâce aux travaux du consortium MASA depuis 2012, la communauté archéologique a pris conscience de l’importance de respecter des bonnes pratiques pour l’usage du numérique dans la recherche et de préparer les données au partage et à la réutilisation dans l’esprit de la Science Ouverte.
Le nouveau consortium MASAplus qui hérite de MASA, souhaite accompagner la communauté archéologique dans les bonnes pratiques numériques.
Tout en poursuivant la diffusion des outils mis en place et la promotion des principes FAIR à la communauté la plus large possible (l’ensemble des métiers du Patrimoine), MASAplus s’attachera plus particulièrement au déploiement des données archéologiques sur le Linked Open Data dans l’esprit de la Science Ouverte, à permettre la réutilisation des données de l’archéologie et à mener une analyse sur l’impact de ses travaux sur la communauté archéologique.
Ces enjeux passent par un élargissement structurel en mobilisant plus de participants, via des groupes de travail, et une augmentation du nombre de corpus. Un principe de certification de projets (évalué en fonction du respect des principes FAIR) permettra d’enrichir le consortium en capitalisant sur de nouvelles expériences.
Les groupes de travail (archives, modélisation documentaire, vocabulaire, spatialisation, publication et données ouvertes) ont pour mission de réfléchir à la mise en œuvre d’outils d’accompagnement, mais également d’assurer la formation de la communauté.
Consulter le site du Consortium-HN MASAplus
Quelques ressources
Contacts
Informations à venir
Mémoires des Archéologues et des sites Archéologiques plus (MASAplus)
Labellisation en 2023
Grâce aux travaux du consortium MASA depuis 2012, la communauté archéologique a pris conscience de l’importance de respecter des bonnes pratiques pour l’usage du numérique dans la recherche et de préparer les données au partage et à la réutilisation dans l’esprit de la Science Ouverte.
Le nouveau consortium MASAplus qui hérite de MASA, souhaite accompagner la communauté archéologique dans les bonnes pratiques numériques.
Tout en poursuivant la diffusion des outils mis en place et la promotion des principes FAIR à la communauté la plus large possible (l’ensemble des métiers du Patrimoine), MASAplus s’attachera plus particulièrement au déploiement des données archéologiques sur le Linked Open Data dans l’esprit de la Science Ouverte, à permettre la réutilisation des données de l’archéologie et à mener une analyse sur l’impact de ses travaux sur la communauté archéologique.
Ces enjeux passent par un élargissement structurel en mobilisant plus de participants, via des groupes de travail, et une augmentation du nombre de corpus. Un principe de certification de projets (évalué en fonction du respect des principes FAIR) permettra d’enrichir le consortium en capitalisant sur de nouvelles expériences.
Les groupes de travail (archives, modélisation documentaire, vocabulaire, spatialisation, publication et données ouvertes) ont pour mission de réfléchir à la mise en œuvre d’outils d’accompagnement, mais également d’assurer la formation de la communauté.
Quelques ressources
Contacts
Bruno BAUDOIN
Loup BERNARD
Olivier MARLET
DIgital STudies Africa Asia and the Middle east (DISTAM)
Labellisation en 2022.
DISTAM est une initiative collaborative destinée à accompagner et à consolider la transition numérique des études moyen-orientales, africaines et asiatiques en France. Sa spécificité est de s’intéresser à des langues à graphie non-latine moins dotées numériquement en raison d’outils d’océrisation, de Handwritten Text Recognition et de fouille de textes encore peu ou insuffisamment développés. Le Consortium a également pour objectif de se confronter à des terrains de plus en plus difficiles d’accès et à des politiques de numérisation à standards et coûts très différents des normes européennes. 28 structures de nature variée (UMR, UR, UMIFRE, bibliothèques, ResEFE, et une start-up) ont déjà rejoint DISTAM, et plusieurs autres devraient le faire à brève échéance.
Quatre groupes de travail ont vocation à structurer l’activité d’expérimentation et d’accompagnement de DISTAM :
- Encodage, publication et fouille de corpus textuels en graphie non-latine
- Signalement pérenne et enrichi des ressources documentaires en études aréales
- Exposition de données visuelles, spatiales, sérielles enrichies
- Enjeux juridiques et éthiques
Les actions prévues incluent :
- La diffusion d’une information dédiée, à travers une lettre d’information mensuelle
- Le développement d’une plateforme de partage de ressources et d’expériences
- L’organisation de formations aux outils et aux méthodes de la science ouverte
- Le financement de résidences accompagnées par des spécialistes du numérique ouvert
- La rédaction de guides de bonnes pratiques et d’évaluation d’outils
Quelques ressources
Contacts
Marie BIZAIS
Benjamin GUICHARD
Mercedes VOLAIT
DIgital STudies Africa Asia and the Middle east (DISTAM)
Labellisation en 2022
DISTAM est une initiative collaborative destinée à accompagner et à consolider la transition numérique des études moyen-orientales, africaines et asiatiques en France. Sa spécificité est de s’intéresser à des langues à graphie non-latine moins dotées numériquement en raison d’outils d’océrisation, de Handwritten Text Recognition et de fouille de textes encore peu ou insuffisamment développés. Le Consortium a également pour objectif de se confronter à des terrains de plus en plus difficiles d’accès et à des politiques de numérisation à standards et coûts très différents des normes européennes. 28 structures de nature variée (UMR, UR, UMIFRE, bibliothèques, ResEFE, et une start-up) ont déjà rejoint DISTAM, et plusieurs autres devraient le faire à brève échéance.
Quatre groupes de travail ont vocation à structurer l’activité d’expérimentation et d’accompagnement de DISTAM :
- Encodage, publication et fouille de corpus textuels en graphie non-latine
- Signalement pérenne et enrichi des ressources documentaires en études aréales
- Exposition de données visuelles, spatiales, sérielles enrichies
- Enjeux juridiques et éthiques
Les actions prévues incluent :
- La diffusion d’une information dédiée, à travers une lettre d’information mensuelle
- Le développement d’une plateforme de partage de ressources et d’expériences
- L’organisation de formations aux outils et aux méthodes de la science ouverte
- Le financement de résidences accompagnées par des spécialistes du numérique ouvert
- La rédaction de guides de bonnes pratiques et d’évaluation d’outils
Consulter le carnet de recherche du Consortium-HN DISTAM
Quelques ressources
Contacts
Marie BIZAIS
Benjamin GUICHARD
Mercedes VOLAIT
DIgital STudies Africa Asia and the Middle east (DISTAM)
Labellisation en 2022
DISTAM est une initiative collaborative destinée à accompagner et à consolider la transition numérique des études moyen-orientales, africaines et asiatiques en France. Sa spécificité est de s’intéresser à des langues à graphie non-latine moins dotées numériquement en raison d’outils d’océrisation, de Handwritten Text Recognition et de fouille de textes encore peu ou insuffisamment développés. Le Consortium a également pour objectif de se confronter à des terrains de plus en plus difficiles d’accès et à des politiques de numérisation à standards et coûts très différents des normes européennes. 28 structures de nature variée (UMR, UR, UMIFRE, bibliothèques, ResEFE, et une start-up) ont déjà rejoint DISTAM, et plusieurs autres devraient le faire à brève échéance.
Quatre groupes de travail ont vocation à structurer l’activité d’expérimentation et d’accompagnement de DISTAM :
- Encodage, publication et fouille de corpus textuels en graphie non-latine
- Signalement pérenne et enrichi des ressources documentaires en études aréales
- Exposition de données visuelles, spatiales, sérielles enrichies
- Enjeux juridiques et éthiques
Les actions prévues incluent :
- La diffusion d’une information dédiée, à travers une lettre d’information mensuelle
- Le développement d’une plateforme de partage de ressources et d’expériences
- L’organisation de formations aux outils et aux méthodes de la science ouverte
- Le financement de résidences accompagnées par des spécialistes du numérique ouvert
- La rédaction de guides de bonnes pratiques et d’évaluation d’outils
Quelques ressources
Contact
Marie BIZAIS
Benjamin GUICHARD
Mercedes VOLAIT
Consortium pour l'annotation, l'analyse et l'archive de la vidéo appliquées aux activités scientifiques (CANEVAS)
Labellisation en 2022
L’objectif du consortium est d’instrumenter les recherches en SHS autour de corpus vidéo en facilitant les actions telles que : annoter, commenter, analyser, fouiller, partager, archiver des corpus vidéos. Pour cela, les membres du consortium contribuent à développer des standards (FAIR), des bonnes pratiques et des outils dédiés pour les disciplines concernées : Sociologie et Sciences de l’information et de la Communication, Sciences de l’éducation, Histoire, Etudes cinématographiques et Etudes théâtrales.
Parmi les développements technologiques du consortium, l’application Celluloid permet d’annoter des vidéos de manière collaborative à des fins de recherche ou d’enseignement.
Quelques ressources
Contact
Laurent TISSIER
Consortium pour l'annotation, l'analyse et l'archive de la vidéo appliquées aux activités scientifiques (CANEVAS)
Labellisation en 2022
L’objectif du consortium est d’instrumenter les recherches en SHS autour de corpus vidéo en facilitant les actions telles que : annoter, commenter, analyser, fouiller, partager, archiver des corpus vidéos. Pour cela, les membres du consortium contribuent à développer des standards (FAIR), des bonnes pratiques et des outils dédiés pour les disciplines concernées : Sociologie et Sciences de l’information et de la Communication, Sciences de l’éducation, Histoire, Etudes cinématographiques et Etudes théâtrales.
Parmi les développements technologiques du consortium, l’application Celluloid permet d’annoter des vidéos de manière collaborative à des fins de recherche ou d’enseignement.
Consulter le carnet de recherche du Consortium-HN CANEVAS
Quelques ressources
Celluloid, application d’annotation collaborative de vidéos
Contact
Laurent TESSIER
Michaël BOURGATTE
Musica 2
Labellisation en 2022
Le projet collectif à l’œuvre avec MUSICA2 se fonde sur de nombreuses initiatives qui ont permis à la musicologie numérique de prendre, durant les quatre dernières années, des orientations nouvelles. Les défis posés à un consortium qui traite de musique sont à la fois classiques et singuliers. Les quatre points cardinaux de la réflexion demeurent : (1) les personnes, (2) les productions et les événements, (3) les lieux et (4) les sources et les œuvres.
L’objectif visé est de dégager des invariants dans les gestes et les opérations intellectuelles à la base des pratiques portant sur les sources au travers desquelles se donnent la musique et ses différents contextes (historique, théorique, social, esthétique, philosophique, etc.). La modélisation ontologique permet de formaliser ces invariants et de contribuer ainsi à mieux saisir la singularité des objets et des pratiques de recherche musicologique et à construire une interdisciplinarité féconde avec les autres disciplines relevant des humanités et des sciences sociales.
Les actions de recherche et de formation s’articuleront autour de :
- La définition des systèmes interopérables et ergonomiques d’encodage des musiques ou de description des sources.
- L’élaboration des ontologies couvrant progressivement l’ensemble des corpus explorés.
- La constitution de référentiels et de modèles de donnée.
Quelques ressources
Contact
Philippe VENDRIX
Musica 2
Labellisation en 2022
Le projet collectif à l’œuvre avec MUSICA2 se fonde sur de nombreuses initiatives qui ont permis à la musicologie numérique de prendre, durant les quatre dernières années, des orientations nouvelles. Les défis posés à un consortium qui traite de musique sont à la fois classiques et singuliers. D’une manière ou d’une autre, à l’instar des consortiums construits sur des créations humaines, les quatre points cardinaux de la réflexion demeurent : (1) les personnes, (2) les productions et les événements, (3) les lieux et (4) les sources et les œuvres.
L’objectif visé est de dégager des invariants dans les gestes et les opérations intellectuelles à la base des pratiques portant sur les sources au travers desquelles se donnent la musique et ses différents contextes (historique, théorique, social, esthétique, philosophique, etc.). La modélisation ontologique permet de formaliser ces invariants et de contribuer ainsi à mieux saisir la singularité des objets et des pratiques de recherche musicologique et à construire une interdisciplinarité féconde avec les autres disciplines relevant des humanités et des sciences sociales.
- Les actions de recherche et de formation s’articuleront autour de :
- La définition des systèmes interopérables et ergonomiques d’encodage des musiques ou de description des sources.
- L’élaboration des ontologies couvrant progressivement l’ensemble des corpus explorés.
- La constitution de référentiels et de modèles de données
Quelques ressources
Contact
Philippe VENDRIX
Corpus, Langues et Interactions 2 (CORLI 2)
Labellisation en 2022
CORLI est un réseau de laboratoires et de chercheurs travaillant sur les corpus de langage. Son but est d’offrir à tous des données, des outils, de la documentation et des formations autour de l’utilisation scientifique des corpus de langage en suivant les principes FAIR. CORLI est ouvert aux enseignants-chercheurs, chercheurs, ingénieurs, du monde entier et à l’étude de toutes les langues et le démontre particulièrement en étant labellisé Centre-K par l’infrastructure européenne CLARIN.
Le consortium CORLI s’attache particulièrement à mettre en commun les ressources existantes des laboratoires du consortium, à aider la communauté scientifique à pérenniser ses données, à mieux les diffuser, et à donner des moyens complémentaires à des projets de réseau validés par les chercheurs en linguistique de corpus.
Plus particulièrement, CORLI propose:
- de la documentation sur les outils, les formats, les bonnes pratiques, les aspects juridiques
- des formations à l’utilisation des outils ou des formats
- une aide aux utilisateurs dans notre Centre-K.
CORLI travaille activement sur trois projets qui répondent aux besoins de la communauté:
- l’annotation collaborative
- la citation de corpus ou d’extraits de corpus
- le Corpus Ouvert du Français: données de corpus et outils pour la langue française
Quelques ressources
Contacts
Christophe PARISSE
Céline POUDAT
Corpus, Langues et Interactions 2 (CORLI 2)
Labellisation en 2022
CORLI est un réseau de laboratoires et de chercheurs travaillant sur les corpus de langage. Son but est d’offrir à tous des données, des outils, de la documentation et des formations autour de l’utilisation scientifique des corpus de langage en suivant les principes FAIR. CORLI est ouvert aux enseignants-chercheurs, chercheurs, ingénieurs, du monde entier et à l’étude de toutes les langues et le démontre particulièrement en étant labellisé Centre K par l’infrastructure européenne CLARIN.
Le consortium CORLI s’attache particulièrement à mettre en commun les ressources existantes des laboratoires du consortium, à aider la communauté scientifique à pérenniser ses données, à mieux les diffuser, et à donner des moyens complémentaires à des projets de réseau validés par les chercheurs en linguistique de corpus.
Plus particulièrement, CORLI propose:
- de la documentation sur les outils, les formats, les bonnes pratiques, les aspects juridiques
- des formations à l’utilisation des outils ou des formats
- une aide aux utilisateurs dans notre centre K.
CORLI travaille activement sur trois projets qui répondent aux besoins de la communauté:
- l’annotation collaborative
- la citation de corpus ou d’extraits de corpus
- le Corpus Ouvert du Français: données de corpus et outils pour la langue française
Quelques ressources
Contacts
Christophe PARISSE
Céline POUDAT
Consortium Sources Médiévales (COSME)
Première labellisation en 2012, actuellement en dernière phase.
Cosme est un consortium pluridisciplinaire. Il s’appuie sur une communauté scientifique largement ouverte à toutes les disciplines, rassemblant archéologues, historiens, historiens de l’art, philosophes, linguistes, littéraires… et réunie autour d’une pratique commune : celle de la recherche sur le passé médiéval par le biais des sources les plus diverses. Ces sources sont au cœur des préoccupations du consortium : projets d’édition ou de transcription, de reproduction numérique ou de répertoires les recensant. Le consortium veut aussi défricher le terrain de nouvelles procédures de gestion et d’analyse de données numériques relatives à la médiévistique et promouvoir la formation à ces techniques.
Quelques ressources
Les Corpus de la Bourgogne au Moyen Âge (CBMA), entre constitution de corpus et traitement de données
Aposcripta : la base de données collaborative de lettres de papes médiévales
Sigilla : le projet dédié aux sceaux médiévaux conservés en France
TELMA : la plate-forme de publication de sources médiévales pilotée par l’IRHT, OA et ouverte à la communauté scientifique
Contact
Paul BERTRAND
Consortium Sources Médiévales (COSME)
Première labellisation en 2012, actuellement en dernière phase.
Le positionnement de ce consortium est clairement pluridisciplinaire. Il s’appuie sur une communauté scientifique largement ouverte à toutes les disciplines, rassemblant archéologues, historiens, historiens de l’art, philosophes, linguistes, littéraires… et réunie autour d’une pratique commune : celle de la recherche sur le passé médiéval par le biais des sources les plus diverses.
Ces sources sont au cœur des préoccupations du consortium : projets d’édition ou de transcription, de reproduction numérique ou d’un répertoire les recensant.
Quelques ressources
Les Corpus de la Bourgogne au Moyen Âge (CBMA), entre constitution de corpus et traitement de données
Aposcripta : la base de données collaborative de lettres de papes médiévales
Sigilla : le projet dédié aux sceaux médiévaux conservés en France
TELMA : la plate-forme de publication de sources médiévales pilotée par l’IRHT, OA et ouverte à la communauté scientifique
Contacts
Paul BERTRAND
Consortium Cartes et photographies pour les géographes (ImaGEO)
Première labellisation en 2012, actuellement en dernière phase.
Créé en 2012, le consortium ImaGEO rassemble les UMR Passages, Prodig, Migrinter, Edytem, Géographie-Cités, l’UMS Riate, la Maison de l’Orient et de la Méditerranée et le SCD de l’Université Bordeaux Montaigne.
Ce consortium est né de la volonté de diffuser des fonds géographiques patrimoniaux et de favoriser leur réutilisation. En effet, les infrastructures de données géographiques (IDG) ont tendance aujourd’hui à se concentrer sur la documentation et la diffusion de jeux de données contemporaines. Peu de données historiques sont disponibles sur ces plateformes.
L’un des objectifs de ce consortium est donc de rendre accessibles, consultables et mobilisables des données cartographiques et photographiques nombreuses et éparses, qui constituent des fonds de laboratoires de recherche, de bibliothèques remarquables ou des fonds de chercheurs, ressources en général sous-exploitées faute d’accès en ligne ou de documentation suffisante.
A cette fin, dans le cadre du consortium, le Centre d’Information Scientifique et Technique Regards de l’UMR Passages a réalisé Navigae, service à la disposition des communautés scientifiques pour rechercher et accéder selon des critères spatio-temporels à des données géographiques scientifiques et patrimoniales.
Plus de 38 000 documents sont disponibles sur Navigae provenant des collections des membres du consortium mais aussi d’autres institutions.
Quelques ressources
Madmaps : Un serious game pour apprendre les notions principales de la cartographie
Navigae : Plateforme de recherche et de visualisation cartographique
Carnet ImaGEO : Informations sur les travaux du consortium
Contacts
Shadia KILOUCHI
Caroline ABELA
Consortium Cartes et photographies pour les géographes (ImaGEO)
Première labellisation en 2012, actuellement en dernière phase.
Créé en 2012, le consortium ImaGEO rassemble les UMR Passages, Prodig, Migrinter, Edytem, Géographie-Cités, l’UMS Riate, la Maison de l’Orient et de la Méditerranée et le SCD de l’Université Bordeaux Montaigne.
Ce consortium est né de la volonté de diffuser des fonds géographiques patrimoniaux et de favoriser leur réutilisation. En effet, les infrastructures de données géographiques (IDG) ont tendance aujourd’hui à se concentrer sur la documentation et la diffusion de jeux de données contemporaines. Peu de données historiques sont disponibles sur ces plateformes.
L’un des objectifs de ce consortium est donc de rendre accessibles, consultables et mobilisables des données cartographiques et photographiques nombreuses et éparses, qui constituent des fonds de laboratoires de recherche, de bibliothèques remarquables ou des fonds de chercheurs, ressources en général sous-exploitées faute d’accès en ligne ou de documentation suffisante.
A cette fin, dans le cadre du consortium, le Centre d’Information Scientifique et Technique Regards de l’UMR Passages a réalisé Navigae, service à la disposition des communautés scientifiques pour rechercher et accéder selon des critères spatio-temporels à des données géographiques scientifiques et patrimoniales.
Plus de 38 000 documents sont disponibles sur Navigae provenant des collections des membres du consortium mais aussi d’autres institutions.
Quelques ressources
Madmaps : Un serious game pour apprendre les notions principales de la cartographie
Navigae : Plateforme de recherche et de visualisation cartographique
Carnet ImaGEO : Informations sur les travaux du consortium
Contacts
Shadia KILOUCHI
Caroline ABELA
Consortium Mémoires des archéologues et des sites archéologiques (MASA)
Première labellisation en 2012, actuellement en dernière phase.
Depuis son renouvellement en 2017, ce consortium réunit 10 acteurs nationaux (6 Maisons des Sciences de l’Homme, le réseau Frantiq, le Musée d’Archéologie National, l’Inrap et le Réseau des Ecoles Françaises à l’Etranger) autour du partage de la documentation archéologique.
Il a pour objectif de proposer un accès unifié à des corpus variés de données et de documentations produites par les archéologues. Il développe des méthodes et des outils à destination de la communauté archéologique, en respectant les standards internationaux.
Le consortium MASA ainsi que le consortium 3D participent également aux activités du projet européen Horizon 2020 ARIADNEplus dans leurs domaines d’expertises respectifs.
Quelques ressources
Modèle DMP : Modèle de plan de gestion de données MASA
Opentheso : gestionnaire de thésaurus multilingue et multi-hiérarchique
OpenArchaeo : plateforme de données archéologiques
Contact
Xavier RODIER
Consortium Mémoires des archéologues et des sites archéologiques (MASA)
Première labellisation en 2012, actuellement en dernière phase.
Depuis son renouvellement en 2017, ce consortium réunit 10 acteurs nationaux (6 Maisons des Sciences de l’Homme, le réseau Frantiq, le Musée d’Archéologie National, l’Inrap et le Réseau des Ecoles Françaises à l’Etranger) autour du partage de la documentation archéologique.
Il a pour objectif de proposer un accès unifié à des corpus variés de données et de documentations produites par les archéologues. Il développe des méthodes et des outils à destination de la communauté archéologique, en respectant les standards internationaux.
Le consortium MASA ainsi que le consortium 3D participent également aux activités du projet européen Horizon 2020 ARIADNEplus dans leurs domaines d’expertises respectifs.
Quelques ressources
Modèle DMP : Modèle de plan de gestion de données MASA
Opentheso : gestionnaire de thésaurus multilingue et multi-hiérarchique
OpenArchaeo : plateforme de données archéologiques
Contacts
Xavier RODIER
Consortium 3D pour les humanités numériques (Consortium 3DHN)
Ce nouveau Consortium-HN s’inscrit dans la dynamique d’évolution du Consortium-HN “3D-SHS” et dont le mandat s’est terminé en 2023 (2014-2023).
3DHN repose sur un réseau interdisciplinaire comptant plus de 26 institutions dans les domaines des SHS (patrimoine, archéologie, linguistique …) de l’informatique graphique, de l’optique. Il a pour objectif de travailler en commun avec les MSHs mais aussi avec les institutions relevant du ministère de la Culture.
Durant la période de son mandat (2024-2027), l’objectif de ce nouveau Consortium-HN est de devenir un acteur majeur auprès des acteurs de la recherche et de la culture, tant au niveau national qu’international, dans les domaines des usages, de la préservation et de la diffusion des données en 3D.
Objectifs
- Des ateliers (XR, recensement des besoins, cycle de vie des données, apparences/matériaux, interopérabilité, annotation, schémas de métadonnées, etc.) pour étudier les usages des SHS et de la culture et pour proposer des solutions technologiques à ces besoins, en se basant sur une veille continue pour suivre les évolutions rapides des technologies 3D.
- Des recommandations et des guides pour fournir un contenu de référence et des supports de formation, en tenant compte des enjeux liés à la crise environnementale pour plus de sobriété numérique et d’efficacité en ressource.
- Consolider l’expérience acquise dans le développement d’infrastructures. Pour cela, le Conservatoire National de Données 3D sera notre plateforme de référence, un outil en production comme d’expérimentation prenant en compte les principes FAIR. Un écosystème de logiciels sous licences libres sera développé autour.
- Créer une communauté la plus large possible pour récolter les besoins et les expériences, en élargissant son réseau et ses supports institutionnels nationaux et internationaux (CINES, MSH, CAI-RN, GDR …)
- Former les utilisateurs et les supports des utilisateurs à ses recommandations et à ses outils.
Adossement d’une société savante :
« Consortium 3D: Culture, Patrimoine et Humanités Numérique »
La communauté revêt une importance primordiale et doit être aussi inclusive que possible. C’est l’objectif principal de la création d’une société savante. Elle devra assurer la pérennité de la communauté interdisciplinaire formée, des actions entreprises et des outils développés, tout en renforçant leur visibilité et leur adoption par d’autres communautés impactées ou potentiellement impliquées.
Quelques ressources
Contacts et réseaux
Contact Consortium 3DHN
Coordinateurs
Xavier GRANIER
Mehdi CHAYANI
Florent LAROCHE
Consortium 3D
Ce nouveau Consortium-HN s’inscrit dans la dynamique d’évolution du Consortium-HN “3D-SHS” et dont le mandat s’est terminé en 2023 (2014-2023).
3DHN repose sur un réseau interdisciplinaire comptant plus de 26 institutions dans les domaines des SHS (patrimoine, archéologie, linguistique …) de l’informatique graphique, de l’optique. Il a pour objectif de travailler en commun avec les MSHs mais aussi avec les institutions relevant du ministère de la Culture.
Durant la période de son mandat (2024-2027), l’objectif de ce nouveau Consortium-HN est de devenir un acteur majeur auprès des acteurs de la recherche et de la culture, tant au niveau national qu’international, dans les domaines des usages, de la préservation et de la diffusion des données en 3D.
Objectifs
- Des ateliers (XR, recensement des besoins, cycle de vie des données, apparences/matériaux, interopérabilité, annotation, schémas de métadonnées, etc.) pour étudier les usages des SHS et de la culture et pour proposer des solutions technologiques à ces besoins, en se basant sur une veille continue pour suivre les évolutions rapides des technologies 3D.
- Des recommandations et des guides pour fournir un contenu de référence et des supports de formation, en tenant compte des enjeux liés à la crise environnementale pour plus de sobriété numérique et d’efficacité en ressource.
- Consolider l’expérience acquise dans le développement d’infrastructures. Pour cela, le Conservatoire National de Données 3D sera notre plateforme de référence, un outil en production comme d’expérimentation prenant en compte les principes FAIR. Un écosystème de logiciels sous licences libres sera développé autour.
- Créer une communauté la plus large possible pour récolter les besoins et les expériences, en élargissant son réseau et ses supports institutionnels nationaux et internationaux (CINES, MSH, CAI-RN, GDR …)
- Former les utilisateurs et les supports des utilisateurs à ses recommandations et à ses outils.
Adossement d’une société savante :
« Consortium 3D: Culture, Patrimoine et Humanités Numérique »
La communauté revêt une importance primordiale et doit être aussi inclusive que possible. C’est l’objectif principal de la création d’une société savante. Elle devra assurer la pérennité de la communauté interdisciplinaire formée, des actions entreprises et des outils développés, tout en renforçant leur visibilité et leur adoption par d’autres communautés impactées ou potentiellement impliquées.
Quelques ressources
Contacts et réseaux
Contact Consortium 3DHN
Coordinateurs
Xavier GRANIER
Mehdi CHAYANI
Florent LAROCHE
Première labellisation en 2012, actuellement en dernière phase.
Créé en 2012, le consortium ImaGEO rassemble les UMR Passages, Prodig, Migrinter, Edytem, Géographie-Cités, l’UMS Riate, la Maison de l’Orient et de la Méditerranée et le SCD de l’Université Bordeaux Montaigne.
Ce consortium est né de la volonté de diffuser des fonds géographiques patrimoniaux et de favoriser leur réutilisation. En effet, les infrastructures de données géographiques (IDG) ont tendance aujourd’hui à se concentrer sur la documentation et la diffusion de jeux de données contemporaines. Peu de données historiques sont disponibles sur ces plateformes.
L’un des objectifs de ce consortium est donc de rendre accessibles, consultables et mobilisables des données cartographiques et photographiques nombreuses et éparses, qui constituent des fonds de laboratoires de recherche, de bibliothèques remarquables ou des fonds de chercheurs, ressources en général sous-exploitées faute d’accès en ligne ou de documentation suffisante.
A cette fin, dans le cadre du consortium, le Centre d’Information Scientifique et Technique Regards de l’UMR Passages a réalisé Navigae, service à la disposition des communautés scientifiques pour rechercher et accéder selon des critères spatio-temporels à des données géographiques scientifiques et patrimoniales.
Plus de 38 000 documents sont disponibles sur Navigae provenant des collections des membres du consortium mais aussi d’autres institutions.
Première labellisation en 2012, actuellement en dernière phase.
Cosme est un consortium pluridisciplinaire. Il s’appuie sur une communauté scientifique largement ouverte à toutes les disciplines, rassemblant archéologues, historiens, historiens de l’art, philosophes, linguistes, littéraires… et réunie autour d’une pratique commune : celle de la recherche sur le passé médiéval par le biais des sources les plus diverses. Ces sources sont au cœur des préoccupations du consortium : projets d’édition ou de transcription, de reproduction numérique ou de répertoires les recensant. Le consortium veut aussi défricher le terrain de nouvelles procédures de gestion et d’analyse de données numériques relatives à la médiévistique et promouvoir la formation à ces techniques.
Depuis son renouvellement en 2017, ce consortium réunit 10 acteurs nationaux (6 Maisons des Sciences de l’Homme, le réseau Frantiq, le Musée d’Archéologie National, l’Inrap et le Réseau des Ecoles Françaises à l’Etranger) autour du partage de la documentation archéologique.
Il a pour objectif de proposer un accès unifié à des corpus variés de données et de documentations produites par les archéologues. Il développe des méthodes et des outils à destination de la communauté archéologique, en respectant les standards internationaux.
Le consortium MASA ainsi que le consortium 3D participent également aux activités du projet européen Horizon 2020 ARIADNEplus dans leurs domaines d’expertises respectifs.
Labellisés en 2016.
Le consortium « CORLI 1 » labellisé en 2016 est né du rapprochement des deux consortiums de linguistique de la TGIR Huma-Num : « Corpus Écrits » et « Corpus Oraux et Multimodaux (IRCOM) ».
Les objectifs majeurs du consortium peuvent être énoncés comme suit :
- Représenter la communauté
- Structurer la communauté
- Répondre aux besoins de la communauté
- Diffuser et partager les outils numériques et les bonnes pratiques
- Soutenir des actions nécessaires : corpus, outils, guides, formation
Ces dix dernières années, CORLI a adopté deux principaux modes de fonctionnement :
- des groupes projets qui se consacrent à un objet ou un sous-domaine en particulier.
et des actions transversales.
CORLI s’est également investi dans le développement des relations avec les infrastructures européennes. Ainsi CORLI a défendu l’investissement de la France dans l’infrastructure CLARIN et a ouvert un centre K CLARIN dont le thème est « les langues de France et la linguistique de corpus : méthodes, données, outils ».
Labellisé en 2011. Renouvelé en 2016.
CAHIER est un consortium interdisciplinaire. Il vise à fédérer les différentes initiatives françaises (existantes ou en projet) autour de corpus d’auteurs (constitution, édition, diffusion, exploitation, etc.), qu’ils relèvent de la littérature, de la philosophie ou d’une thématique liée à une école ou à une pratique. CAHIER se définit donc par rapport à l’existence d’une œuvre (incluant les documents préparatoires) ou de plusieurs œuvres identifiées et dont la cohérence mérite d’être soulignée, publiée, outillée et exploitée numériquement pour donner lieu à de nouvelles recherches.
CAHIER favorise en outre la formation aux nouveaux outils et méthodes, le partage d’expériences, le respect et l’élaboration de normes et bonnes pratiques favorisant l’échange, l’interopérabilité et l’accès aux données ainsi que de nouvelles recherches scientifiques. CAHIER privilégie et promeut la diffusion libre et ouverte des corpus produits par ses projets partenaires.
Labellisé en 2014
Le consortium Musica réunissait plusieurs unités et équipes de recherches autour d’une thématique commune : la valorisation et l’exploitation de données musicales numériques par l’utilisation de référentiels communs, la diffusion de bonnes pratiques d’encodage et des opérations de numérisation des données.
L’un des objectifs de Musica était de coordonner la réflexion épistémologique des chercheurs, ainsi que le développement de nouveaux outils de représentation et d’analyse de la musique. Ces outils prennaient appui sur les langages HTML5, CSS3 et javascript, qui constituaient les nouveaux standards de l’internet et permettaient de réaliser des dispositifs multimédia interactifs facilement adaptables d’un projet à l’autre. Une attention particulière a été portée aux manières d’intégrer ces nouveaux outils de représentation à ceux développés dans les axes du consortium, notamment la constitution de corpus de partitions et le développement de plateformes d’archives sonores en ligne.
Labellisé en 2012
Ce consortium avait pour objet la création d’un instrument de recherche collectif qui permette de répondre aux problèmes qui découlent de la nature même des archives de la période contemporaine (XIXe-XXe siècle) qui sont caractérisées tout à la fois par leur masse, l’hétérogénéité des supports (du papier au microsillon en passant par la photographie ou les disquettes informatiques, CD-rom et les supports vidéo anciens et récents), leur fragilité, la diversité de leur statut juridique (public ou privé), et la dispersion des lieux où elles sont conservées.
Consulter le carnet de recherche du consortium ArcMC
Labellisé en 2011. Renouvelé en 2016.
Ce consortium a été créé pour répondre aux questions spécifiques qui se posent aux ethnologues devant la singularité de leurs corpus, l’importance théorique et patrimoniale de leurs travaux, la richesse et la diversité humaine qu’ils représentent. Il s’agissait, dans un premier temps, d’assurer la conservation et la pérennisation des données collectées par les ethnologues sur le terrain ainsi que de tous documents pouvant aider à la contextualisation de ces données ou à une meilleure compréhension de l’élaboration des travaux anthropologiques. Dans un deuxième temps, l’objectif du consortium était de mettre à disposition ces matériaux dans le respect de la propriété intellectuelle et des normes éthiques.
Labellisé en 2012
Ce consortium avait pour mission d’archiver les recherches engagées à l’interface des sciences sociales et portant sur les différentes composantes de l’objet politique – des plus spécifiques telles que les élections, les partis, les syndicats et autres organisations politiques, le métier politique, l’action publique, les institutions, la citoyenneté, mais aussi plus largement toutes formes collectives d’appartenances et de comportements mettant en jeu les rapports de pouvoir.
Labellisé en 2011
Partant du constat que la création de corpus numériques écrits à des fins de recherche a connu des développements considérables dans les dernières années et que des attentes fortes se font jour en matière de partage d’information, d’homogénéisation des pratiques et de mise en conformité avec des standards internationaux, le consortium « Corpus écrits » se donnait précisément pour but de fédérer les équipes et laboratoires, les chercheurs, enseignants-chercheurs, ou ingénieurs engagés dans la production de corpus numériques écrits, quels que soient la langue et l’alphabet considérés et d’offrir la représentation la plus large possible de cette communauté, afin d’accompagner le développement des corpus écrits, d’en faire converger les pratiques et les besoins, de financer des actions répondant à ses missions.
Les consortiums-HN ECRIT et IRCOM ont choisi de fusionner leurs projets et ont été labellisés en 2016 sous le nom de CORLI, actuellement en dernière phase.
Consulter le carnet de recherche du consortium Corpus Ecrits
Labellisé en 2011
Le Consortium IRCOM avait pour missions principales de :
- organiser et accompagner le développement de corpus oraux et multimodaux en linguistique en aidant les chercheurs à s’approprier les outils nécessaires et à développer des standards communs de référence ;
- développer la valorisation, la visibilité et l’accessibilité des fonds existants ;
- améliorer leur mise à disposition, leur mutualisation et leur interopérabilité afin d’intégrer les réseaux internationaux (notamment ERIC-CLARIN) ;
- intégrer la communauté des producteurs et utilisateurs de corpus oraux et multimodaux dans ces pratiques et réflexions.
Les consortiums-HN ECRIT et IRCOM ont choisi de fusionner leurs projets et ont été labellisés en 2016 sous le nom de CORLI, actuellement en dernière phase.